Victoria Jones a beaucoup de défauts, mais au moins trois qualités : elle est très jolie, elle est courageuse, et elle aime l'aventure... Pas étonnant donc qu'une heure après avoir été licenciée de son emploi de dactylo et cinq minutes après avoir rencontré un séduisant jeune homme, elle décide de le suivre à Bagdad. Ce qui l'est plus, c'est le tourbillon d'aventures d'espionnage qui l'attend là-bas, dans l'inquiétante atmosphère d'un Orient bouillonnant.
Dans l’obscurité d’une maison endormie, un cri déchire le silence... Un crime vient d’être commis... Ainsi se lève le rideau sur l’un des plus grands succès de la scène internationale, « La Souricière », qui tient l’affiche sans interruption depuis plus de cinquante ans. Adaptée par Agatha Christie d’une nouvelle écrite en 1947, jouée pour la première fois à Londres en 1952, cette mésaventure de trois petites souris porte la marque de son auteur : humour et coups de théâtre sont au rendez-vous.
Hercule Poirot aimerait bien passer des vacances tranquilles. Une petite île, un hôtel agréable, une cuisine soignée, des pensionnaires charmants... Tout irait pour le mieux si, parmi les estivants, ne rôdait Arlena Marshall, une de ces femmes fatales qui font faire bien des bêtises aux hommes. Était-ce une raison pour l'étrangler? Drôle de vacances pour Hercule Poirot...
Quand on découvre le colonel Protheroe tué d'une balle dans la tête dans le bureau du presbytère, le pasteur a sans doute déjà une idée sur l'identité possible de l'assassin ou, en tout cas, sur un mobile vraisemblable. N'assiste-t-il pas au thé hebdomadaire de sa femme, où s'échangent potins et cancans ?
Une fois n’est pas coutume, nous suivons Hercule Poirot en France d’où M. Renauld – un homme qui semble avoir des moyens – a lancé un SOS impérieux au détective. Une limousine attendra Poirot et son ami Hastings à Calais...
Trop belle, trop légère, trop riche Rosemary ! Quel désespoir secret a conduit au suicide cette femme environnée d'admirateurs et d'amants, volant de cocktails en parties de bridge et de dîners en bals, sous l'oeil résigné de George, son mari plus âgé ? Nul ne le sait. Mais la question commence à se poser différemment le jour où ce dernier est informé par des lettres anonymes qu'on a assassiné son épouse. Cependant, le lecteur découvre, une à une, les raisons qui auraient pu pousser diverses personnes de l'entourage de Rosemary à vouloir se débarrasser d'elle.
Gordon Cloade est mort fort à propos sous les décombres de sa villa ravagée par le Blitz. Il laisse à sa jeune veuve, Rosaleen, une fortune colossale et cela, évidemment, ne fait pas l'affaire du clan Cloade qui se voit, d'un seul coup, spolié par l'intruse. Or le bruit court que le premier mari de Rosaleen ne serait pas mort, ce qui, bien entendu, aurait pour effet d'annuler le second mariage... Ces situations troubles sont pain bénit pour les maîtres chanteurs. En voici justement un qui fait chanter la jeune femme.
Au moment où Hercule Poirot s’apprête à déguster son chocolat chaud, un savant atomiste l’appelle à la rescousse… Black Coffe est la première pièce de théâtre d’Agatha Christie. Charles Osborne en a tiré un roman digne de la reine du crime : plein de mystère et d’un humour très british.