Une religieuse peut-elle anéantir un couvent par la seule force d’une prière ? Est-il vrai que parfois un «signal rouge» s’allume en nous pour nous mettre en garde ? Peut-on envahir et manipuler la personnalité d’un autre être ?
Agatha Christie excelle à nous faire percevoir ces forces invisibles, jusqu’au frisson.
Pourquoi cette dame anglaise comme il faut a-t-elle tué sa demoiselle de compagnie ? Qui a bien pu subtiliser le testament de ce vieux monsieur ? Et si ce n'est pas Mabel qui a empoisonné son mari, alors qui ? Aux petites soirées de Miss Marple, chacun y va d'une histoire étrange dont il a, un jour ou l'autre, été témoin.
Dans ce train où ne se côtoient que des gens aux comptes en banque bien fournis, et qui fuient les brumes anglaises pour le soleil de la Côte d'Azur, la fille d'un homme d'affaires américain est assassinée. Enquête difficile, tant par le milieu dans lequel elle se déroule que par la vitesse imposée à ladite enquête par l'horaire auquel le « Train bleu » doit se soumettre.
En bref, le criminel aurait toutes les chances d'échapper à la justice si - pour son malheur - Hercule Poirot n'avait pas été là...
Le collège de Bredgar, à une heure de Londres, représente le comble du chic et de la bonne éducation. Comment cet établissement discret pour privilégiés est-il devenu un lieu de supplice pour le jeune Matthiew Whateley ? Par quel enchaînement de chantage et d'humiliation, de cruauté et de violences sexuelles a-t-il fini par être assassiné ? Pourquoi son corps a-t-il été retrouvé si loin de l'école ? Barbara Havers et Thomas Lynley rassemblent les indices et découvrent que d'inquiétantes et barbares cérémonies se déroulent derrière les murs centenaires de Bredgar.
L'histoire raconte les aventures de Jared et Simon, des jumeaux âgés de 9 ans, et de leur sœur Mallory âgée de 13 ans qui viennent d'emménager avec leur mère dans une vieille maison appartenant à leur tante internée à l'asile. Les enfants Grace ne semblent pas très enthousiastes à l'idée de vivre dans une bicoque qui ne tient plus debout et qui menace de s'effondrer d'un moment à l'autre. Des bruits commencent à se faire entendre, des objets disparaissent... Le manoir semble être hanté !
Par le plus grand des hasards, Hercule Poirot se trouve dans la voiture de l’Orient-Express – ce train de luxe qui traverse l’Europe – où un crime féroce a été commis. Une des plus difficiles et des plus délicates enquêtes commence pour le fameux détective belge. Autour de ce cadavre, trop de suspects, trop d’alibis. Privé de tous les moyens d’investigation habituels, ne pouvant contrôler les déclarations des voyageurs, Hercule Poirot ne devra compter que sur son intelligence et son flair.
On ne le répétera jamais assez : Hercule Poirot est le plus grand détective de tous les temps. Quel mystère pourrait le dérouter ? Disparition de bijoux inestimables, suicide suspect, espion retors, meurtre crapuleux, escroquerie de haut vol ou sombre affaire d’héritage, rien ne lui résiste. Mais surtout pas d’acrobaties à quatre pattes dans l’herbe, une loupe à la main. Pas de dissertation sur un mégot taché de rouge à lèvres. Non, Hercule Poirot laisse ces divertissements aux besogneux de Scotland Yard.
Pour Jim Qwilleran, ancien chroniqueur criminel, un poste de critique d'art est une véritable gageure étant donné qu'il ne connaît rien à la question. Très rapidement, il se rend compte que son véritable travail consiste à contrebalancer celui d'un féroce critique, attaché au même journal et détesté de tout le monde. Pourtant la maison de celui-ci est un véritable musée, sa table celle d'un fin gourmet et l'homme lui-même est brillant et satirique.
Dans un bistrot de Chelsea, l'écrivain Mark Easterbrook surprend deux jeunes filles en train de se crêper le chignon. L'une d'elles, « pleine de fric » paraît-il, s'appelle Thomisa Tuckerton. A quelque temps de là, Mark Easterbrook tombe sur un entrefilet : Thomisa Tuckerton est décédée, à l'âge de vingt ans. Peu après, le père Gorman, qui venait de recueillir la confession d'une vieille dame, se fait assassiner. On retrouve sur lui une liste de noms, parmi lesquels celui de Mrs Tuckerton. Les autres sont ceux de personnes mortes de mort « naturelle ».
« L'arpent du gitan »... Michael avait tout de suite aimé la beauté sauvage de cette propriété. C'était décidé : sur les ruines de l'ancien manoir, il construirait sa maison. Une maison de rêve, bien entendu. Et il s'y retirerait, loin de tout, avec Ellie. Mais « L'arpent du gitan » avait mauvaise réputation et la lande était maudite. On racontait que les romanichels lui avaient jeté un sort, que d'étranges accidents s'y produisaient... Pourtant, Michael n'était pas superstitieux, lui. Les menaces de la vieille bohémienne ne lui faisaient pas peur.