Du fond de son fauteuil où elle se tient très droite tandis que ses mains tricotent, une vieille demoiselle pleine de malice écoute ses amis - un colonel et un haut fonctionnaire de Scotland Yard, tous deux à la retraite, un vieux pasteur et un médecin plein d'expérience, une charmante actrice et son neveu - raconter sept étranges histoire dans lesquelles se glisse l'ombre d'un criminel inconnu. Et Miss Marple le découvre toujours, ce criminel, parce qu'elle a beaucoup observé les petites gens de son village et que la nature humaine est partout la même dit-elle...
Dans les avenues élégantes de Charleston, le flâneur en vacances a toutes les chances de trouver ce qu'il cherche : la douceur de vivre, les parfums du Vieux Sud, la " grâce réconfortante du passé ". Et autre chose aussi, qu'il ne cherche pas. Un cadavre enfoui dans le sable de la plage. Un autre, pendu à un arbre, au milieu des marécages. Un autre encore, enfoncé dans un tonneau et coulé en mer. Tous dans un état de putréfaction qui empêche d'identifier les victimes et de connaître la cause de la mort.
Qui avait intérêt à assassiner la richissime Mrs Ingelthorp, maîtresse de la propriété de Styles ? Pratiquement tous ceux qui l'entouraient. Mais pourquoi Poirot protège-t-il le second mari de la victime, qui fait un coupable idéal ?
Premier roman d'Agatha Christie, première apparition de son détective belge Hercule Poirot.
Baptiste Bordave voit mourir sur le seuil de sa porte un inconnu dont il décide de prendre l’identité. Même âge, même aspect physique, mais le mort est riche, possède Jaguar, villa de luxe, épouse blonde et superbe… Devenu Olaf Sildur sans état d’âme, Baptiste espère couler des jours heureux à boire du champagne avec la veuve qui admet sa présence avec un naturel confondant.
Victoria Jones a beaucoup de défauts, mais au moins trois qualités : elle est très jolie, elle est courageuse, et elle aime l'aventure... Pas étonnant donc qu'une heure après avoir été licenciée de son emploi de dactylo et cinq minutes après avoir rencontré un séduisant jeune homme, elle décide de le suivre à Bagdad. Ce qui l'est plus, c'est le tourbillon d'aventures d'espionnage qui l'attend là-bas, dans l'inquiétante atmosphère d'un Orient bouillonnant.
Dans l’obscurité d’une maison endormie, un cri déchire le silence... Un crime vient d’être commis... Ainsi se lève le rideau sur l’un des plus grands succès de la scène internationale, « La Souricière », qui tient l’affiche sans interruption depuis plus de cinquante ans. Adaptée par Agatha Christie d’une nouvelle écrite en 1947, jouée pour la première fois à Londres en 1952, cette mésaventure de trois petites souris porte la marque de son auteur : humour et coups de théâtre sont au rendez-vous.
Hercule Poirot aimerait bien passer des vacances tranquilles. Une petite île, un hôtel agréable, une cuisine soignée, des pensionnaires charmants... Tout irait pour le mieux si, parmi les estivants, ne rôdait Arlena Marshall, une de ces femmes fatales qui font faire bien des bêtises aux hommes. Était-ce une raison pour l'étrangler? Drôle de vacances pour Hercule Poirot...
Quand on découvre le colonel Protheroe tué d'une balle dans la tête dans le bureau du presbytère, le pasteur a sans doute déjà une idée sur l'identité possible de l'assassin ou, en tout cas, sur un mobile vraisemblable. N'assiste-t-il pas au thé hebdomadaire de sa femme, où s'échangent potins et cancans ?
Une fois n’est pas coutume, nous suivons Hercule Poirot en France d’où M. Renauld – un homme qui semble avoir des moyens – a lancé un SOS impérieux au détective. Une limousine attendra Poirot et son ami Hastings à Calais...