Dans ce train où ne se côtoient que des gens aux comptes en banque bien fournis, et qui fuient les brumes anglaises pour le soleil de la Côte d'Azur, la fille d'un homme d'affaires américain est assassinée. Enquête difficile, tant par le milieu dans lequel elle se déroule que par la vitesse imposée à ladite enquête par l'horaire auquel le « Train bleu » doit se soumettre.
En bref, le criminel aurait toutes les chances d'échapper à la justice si - pour son malheur - Hercule Poirot n'avait pas été là...
Par le plus grand des hasards, Hercule Poirot se trouve dans la voiture de l’Orient-Express – ce train de luxe qui traverse l’Europe – où un crime féroce a été commis. Une des plus difficiles et des plus délicates enquêtes commence pour le fameux détective belge. Autour de ce cadavre, trop de suspects, trop d’alibis. Privé de tous les moyens d’investigation habituels, ne pouvant contrôler les déclarations des voyageurs, Hercule Poirot ne devra compter que sur son intelligence et son flair.
On ne le répétera jamais assez : Hercule Poirot est le plus grand détective de tous les temps. Quel mystère pourrait le dérouter ? Disparition de bijoux inestimables, suicide suspect, espion retors, meurtre crapuleux, escroquerie de haut vol ou sombre affaire d’héritage, rien ne lui résiste. Mais surtout pas d’acrobaties à quatre pattes dans l’herbe, une loupe à la main. Pas de dissertation sur un mégot taché de rouge à lèvres. Non, Hercule Poirot laisse ces divertissements aux besogneux de Scotland Yard.
Dans un bistrot de Chelsea, l'écrivain Mark Easterbrook surprend deux jeunes filles en train de se crêper le chignon. L'une d'elles, « pleine de fric » paraît-il, s'appelle Thomisa Tuckerton. A quelque temps de là, Mark Easterbrook tombe sur un entrefilet : Thomisa Tuckerton est décédée, à l'âge de vingt ans. Peu après, le père Gorman, qui venait de recueillir la confession d'une vieille dame, se fait assassiner. On retrouve sur lui une liste de noms, parmi lesquels celui de Mrs Tuckerton. Les autres sont ceux de personnes mortes de mort « naturelle ».
« L'arpent du gitan »... Michael avait tout de suite aimé la beauté sauvage de cette propriété. C'était décidé : sur les ruines de l'ancien manoir, il construirait sa maison. Une maison de rêve, bien entendu. Et il s'y retirerait, loin de tout, avec Ellie. Mais « L'arpent du gitan » avait mauvaise réputation et la lande était maudite. On racontait que les romanichels lui avaient jeté un sort, que d'étranges accidents s'y produisaient... Pourtant, Michael n'était pas superstitieux, lui. Les menaces de la vieille bohémienne ne lui faisaient pas peur.
Du fond de son fauteuil où elle se tient très droite tandis que ses mains tricotent, une vieille demoiselle pleine de malice écoute ses amis - un colonel et un haut fonctionnaire de Scotland Yard, tous deux à la retraite, un vieux pasteur et un médecin plein d'expérience, une charmante actrice et son neveu - raconter sept étranges histoire dans lesquelles se glisse l'ombre d'un criminel inconnu. Et Miss Marple le découvre toujours, ce criminel, parce qu'elle a beaucoup observé les petites gens de son village et que la nature humaine est partout la même dit-elle...
Qui avait intérêt à assassiner la richissime Mrs Ingelthorp, maîtresse de la propriété de Styles ? Pratiquement tous ceux qui l'entouraient. Mais pourquoi Poirot protège-t-il le second mari de la victime, qui fait un coupable idéal ?
Premier roman d'Agatha Christie, première apparition de son détective belge Hercule Poirot.
Victoria Jones a beaucoup de défauts, mais au moins trois qualités : elle est très jolie, elle est courageuse, et elle aime l'aventure... Pas étonnant donc qu'une heure après avoir été licenciée de son emploi de dactylo et cinq minutes après avoir rencontré un séduisant jeune homme, elle décide de le suivre à Bagdad. Ce qui l'est plus, c'est le tourbillon d'aventures d'espionnage qui l'attend là-bas, dans l'inquiétante atmosphère d'un Orient bouillonnant.
Dans l’obscurité d’une maison endormie, un cri déchire le silence... Un crime vient d’être commis... Ainsi se lève le rideau sur l’un des plus grands succès de la scène internationale, « La Souricière », qui tient l’affiche sans interruption depuis plus de cinquante ans. Adaptée par Agatha Christie d’une nouvelle écrite en 1947, jouée pour la première fois à Londres en 1952, cette mésaventure de trois petites souris porte la marque de son auteur : humour et coups de théâtre sont au rendez-vous.
Hercule Poirot aimerait bien passer des vacances tranquilles. Une petite île, un hôtel agréable, une cuisine soignée, des pensionnaires charmants... Tout irait pour le mieux si, parmi les estivants, ne rôdait Arlena Marshall, une de ces femmes fatales qui font faire bien des bêtises aux hommes. Était-ce une raison pour l'étrangler? Drôle de vacances pour Hercule Poirot...